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Fernand Daleyrac

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Adresse

Province du Dauphiné, république fédérée française,

union européenne

Date de naissance

25 avril 1974

Biographie officielle, en perpétuelle rédaction

Fernand Daleyrac,
Biographie d’un écrivain, artisan des mots

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Une famille de lettrés

Fernand Daleyrac, de son nom patronymique Fernand Emmanuel D’Aleyrac De Saint Pereire, est né le 25 avril 1974 à Lisbonne, durant la Révolution des Œillets. Son père est Emmanuel Pereire D’Aleyrac, haut fonctionnaire français exilé au Portugal depuis l’affaire dite « des fuites » en France en 1954. Sa mère est Anastasia Marina Leskova, petite fille d’un industriel de Saint-Pétersbourg qui a connu la ruine après la révolution bolchevique d’octobre 1917. La Révolution portugaise a précipité le départ de la famille d’Aleyrac. Fernand sera leur fils unique.
Les parents se sont rencontrés lors d’une visite diplomatique à l’ambassade de France, à Moscou. A l’époque, Emmanuel Pereire D’Aleyrac n’était alors que conseiller technique rattaché aux affaires culturelles. Auteur de nombreux ouvrages sur la littérature russe, le père de Fernand Daleyrac était aussi reconnu pour ses travaux sur l’assassinat de la famille Romanov. De par son mariage, Anastasia Marina Leskova obtiendra la nationalité française. Elle travaillera avec Emmanuel Pereire D’Aleyrac à l’ambassade de France en tant que traductrice. De par son père, Fernand était issu d’une famille bourgeoise du Dauphiné. L’un des oncles paternels de Fernand Dalayrac était lui aussi marié à une riche propriétaire  qui possédait des luxueux domaines dans le sud de la France et sur la Riviera italienne. Une autre de ses tantes était mariée à un sulfureux négociant russe, à la tête d’une société commerciale d’état d’import-export.

 

Une éducation hors de France
La première partie de son enfance, Fernand Daleyrac la passa chez sa grand-mère maternelle, au quartier de la Loubianka, au centre de Moscou, proche de l'église Saint-Louis-des-Français de Moscou. Il ne voit ses parents que rarement, lorsqu’ils sont invités car de vives tensions apparaissent déjà entre son père et la belle famille. Le couple Pereire D’Aleyrac de part leur fonction était obligé à de fréquents déplacements. Le jeune Fernand Daleyrac est élevé dans la pure tradition orthodoxe chez les Leskov, qui recrutent un tuteur pour tous leurs petits enfants. Cela permet à Fernand Daleyrac de devenir très vite brillant et de développer une attirance vers la foi orthodoxe. D’ailleurs, les éloges répétés de Nikolaï Morosov, l’instituteur à l’égard du jeune Fernand Daleyrac attirent bientôt les jalousies de ses parents, notamment de son père. Sa grand-mère finit par demander à Emmanuel Pereire D’Aleyrac de récupérer son fils chez lui, dans sa résidence de Domodedovo, située à une quarantaine de km au sud du centre de Moscou. La brouille familiale est consommée sur fond de tensions politiques.

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Un difficile retour en France
En mars 1986, Emmanuel Pereire D’Aleyrac est écarté progressivement de ses fonctions diplomatiques suite à l’enlèvement le 8 mars, d’une équipe d’Antenne 2, constituée de Philippe Rochot, Georges Hansen, Aurel Cornéa et Jean-Louis Normandin. Ils avaient été envoyés d'urgence au Liban à la suite de l'annonce de « l'exécution » de Michel Seurat par le Jihad islamique. Emmanuel Pereire D’Aleyrac avait fait jouer son réseau d’influence notamment soviétique, mais le gouvernement français ne l’entendit pas de cette oreille. Sous la pression de sa hiérarchie, la famille fut contrainte de quitter la résidence du sud de Moscou, où elle vivait très confortablement. La vente du domaine fut conclue en roubles, les autorités soviétiques souhaitant acquérir la demeure. Finalement ayant perdu au taux de change, la famille d’Aleyrac va s’installer dans le sud de la France en Drôme provençale, dans une propriété plus modeste. Cet achat a été possible par un prêt personnel provenant d’amis portugais rencontrés durant leur installation à Lisbonne. Le gouvernement français voit d'un très mauvais œil cette transaction. Il pense à une implication des autorités soviétiques mais ne possède aucun éléments à charge pour annuler la vente.


De l’école moscovite au lycée français

La famille Pereire D’Aleyrac se retrouva dans une propriété au cœur de la Drôme provençale, non loin de l’abbaye d’Aiguebelle, à une vingtaine de kilomètres de la capitale du nougat, Montélimar. C’est un véritable choc plutôt positif pour Fernand Daleyrac, qui y découvre le modèle de vivre à la Française et surtout le folklore provençal, les traditions et l’histoire du Dauphiné qui plus tard émailleront son œuvre. Il n’oubliera pas non plus son éducation moscovite à laquelle il est resté profondément attaché. En septembre 1987, Fernand entre au lycée Camille Vernet de Valence-sur-Rhône pour y parfaire son éducation française, comme son père aimait à le répéter à ses beaux-parents. Comme une sorte de défiance. Il est vrai que la distance n'avait pas apaisé les conflits familiaux. Il ne fera pas de progrès notable, le jeune Fernand semblant s’ennuyer fortement. Et après cinq ans de pension, il obtiendra son baccalauréat sans mention. L’adolescent semble traverser une période difficile. Il vit très mal la chute de l’empire soviétique en décembre 1991. Il annonce même à ces parents sa volonté de rejoindre sa grand-mère maternelle. Mais ses parents l'en dissuade.


Une période baudelairienne 

L’ennui mortel qu’il rencontre face à cette éducation publique, son désir d’apprendre la vraie vie, couplés à un manque de professeur particulier auquel il s’était habitué auparavant, tout cela explique en partie les échecs scolaires de Fernand Daleyrac. Plus tard il comparera cette période à la jeunesse de Nékrassov, qui détestait l’éducation publique. Le mal-être le poursuivant durant ses années de jeune adulte, c’est la période où il se mit à écrire, surtout des recueils de poèmes. Influencé par les vicissitudes de la vie du poète Charles Baudelaire, ses écrits poétiques traduisent assez profondément le spleen du jeune homme.  Refusant un pseudonyme trop éloigné de sa vie personnelle, il contractera au cours de sa carrière son nom de d’Aleyrac en Daleyrac en souvenir des difficultés rencontrées.

 

Les années noires de l'étudiant Fernand
La deuxième partie des années 1990 sont pour la famille Pereire D’Aleyrac une calamité. Le cadre des relations personnelles et familiales s'améliore, puisqu’en 1998, il entame des études à la Faculté de Théologie de l’Université Catholique de Lyon. Hélas l’année suivante la famille va subir un choc ! Son père Emmanuel décède dans la maison familiale qui part en fumée dans un incendie. Acte  criminel ou évènement tragique ? Fernand, complètement déboussolé se brouille avec sa mère. Le chagrin est trop violent. En 2001, il souhaite partir aux Etats-Unis pour approfondir ses connaissances dans l'archéologie bibliques mais son visa est refusé à cause de l'attaque des tours jumelles. Il demande alors à ses supérieurs de le transférer à École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem, où il obtiendra finalement un poste de maître-assistant. Il s’installe dans la capitale de l’état hébreu avec son oncle maternel, Alexander, qui exerce en tant que professeur de médecine. Anastasia Marina Leskova, sa mère est repartie vivre à Moscou. Elle demande néanmoins à son frère de veiller sur son fils. Elle craint que le passé tumultueux de son mari ne s'immisce dans la vie de Fernand.

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Une période de transition

Le 17 juillet 2014, la destruction en plein vol de l'avion de la Malaysia Airlines au-dessus de l'est de l'Ukraine frappe Fernand de plein fouet. Sa cousine Valentina, qui était à la fois sa confidente et dépositaire de certains secrets familiaux, trouve la mort dans cette tragédie. Sa disparition soudaine laisse Fernand dévasté et prive également de précieuses informations qu'elle avait promis de lui révéler. Cette perte douloureuse vient s'ajouter aux épreuves qu'il a déjà traversées, marquant ainsi une nouvelle épreuve dans la vie de Fernand Daleyrac.

Suite à cette tragédie, la vie de Fernand Daleyrac prend un tournant inattendu. Profondément affecté par la perte de sa cousine et par le mystère entourant les secrets familiaux qu'elle emportait avec elle, Fernand se lance dans une quête de vérité. Il décide de fouiller les archives familiales, de mener des enquêtes approfondies et de contacter des membres éloignés de sa famille pour démêler les fils de son histoire.

Au fil de ses recherches, Fernand découvre des révélations surprenantes et bouleversantes. Les secrets familiaux qu'il pensait être simplement des anecdotes sans importance se révèlent être des éléments clés de son identité et de son héritage. Il plonge dans l'histoire de sa lignée, explorant les racines mystérieuses qui remontent à plusieurs générations.

Parallèlement à ses investigations, Fernand poursuit son travail d'écriture avec une intensité renouvelée. Les émotions qui l'habitent suite à la perte de Valentina et à la quête de ses origines se reflètent dans ses textes. Sa plume devient plus profonde, plus introspective, et ses récits acquièrent une dimension personnelle et universelle à la fois.

Dans cette période de transition, Fernand se rapproche également de sa foi chrétienne, trouvant réconfort et force dans la spiritualité. Il explore les notions de pardon, de résilience et de destin, cherchant à donner un sens à sa propre existence et à honorer la mémoire de Valentina.

Au fil du temps, Fernand réussit à rassembler les pièces du puzzle de sa vie, bien que certaines zones d'ombre persistent. Sa quête de vérité lui permet de se reconstruire, de trouver une certaine paix intérieure et de réaffirmer sa passion pour l'écriture. Ses expériences et ses découvertes nourrissent son imagination, lui donnant une profondeur et une authenticité nouvelles dans ses récits.

Ainsi, malgré les épreuves et les tragédies qui ont jalonné son parcours, Fernand Daleyrac émerge tel un phoenix des cendres. Il canalise ses émotions, sa curiosité et sa foi dans ses écrits, offrant au monde des histoires qui touchent les âmes, révèlent la complexité de l'existence humaine et célèbrent la résilience de l'esprit.

Son cheminement personnel, empreint de douleur et de transformation, devient une source d'inspiration pour de nombreux lecteurs, qui trouvent dans ses mots une résonance profonde avec leurs propres expériences. Fernand Daleyrac, à travers sa plume et son parcours de vie singulier, laisse une empreinte indélébile dans le paysage littéraire et dans le cœur de ceux qui ont le privilège de découvrir ses écrits.

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Chronologie sommaire

Naissance:
25 avril 1974, Lisbonne

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Janvier 2023 - Juin 2024

La révolution des Œillets (Revolução dos Cravos en portugais), également surnommée le 25 avril (25 de Abril en portugais) est le nom donné aux événements d' avril 1974 qui ont entraîné la chute de la dictature salazariste qui dominait le Portugal depuis 1933.

Révolution des Oeillets,
25 avril 1974, Lisbonne

-Enfance et adolescence de Fernand, avec un intérêt précoce pour la lecture et l'écriture.

-Développement de ses compétences littéraires pendant son parcours éducatif, au lycée et à l'université.

-Publication de ses premiers essais ou écrits, marquant ses débuts en tant qu'écrivain.

-Progression de sa carrière d'écrivain, avec la publication de romans, de nouvelles ou d'autres formes littéraires.

-Reconnaissance croissante de Fernand Daleyrac en tant qu'auteur, avec des critiques positives

-Évolution de sa vie personnelle, incluant des relations amicales et amoureuses.

-Continuité de son œuvre littéraire, avec de nouvelles publications

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